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À Isola, dans les Alpes-Maritimes, les pompiers sont venus à bout du feu qui s’était déclaré jeudi 26 août dans un lieu difficile d’accès. 25 sapeurs-pompiers et agents de Force 06 sont encore déployés.
Les sapeurs-pompiers de l’Hérault renforcent leur dispositif en prévision du dernier weekend d’août, pour lequel le département a été placé en risque incendie “très sévère” en raison du fort vent attendu et de la sécheresse persistante. Les soldats du feu appellent au civisme et à la vigilance.
200 pompiers sont mobilisés depuis le début d’après-midi en Fenouillèdes, entre Maury et Tautavel, au nord-ouest de Perpignan, pour un incendie de garrigue et de résineux qui a déjà parcouru 80 hectares. Ils sont épaulés par des renforts humains de l’Hérault et aériens de la base de Nîmes-Garons.
Les pompiers du Var ont annoncé jeudi 26 août avoir officiellement “éteint” le violent incendie qui a fait deux morts et dévasté 7.000 hectares de végétation dans le département.
Partis en renfort de leurs collègues varois, 10 sapeurs-pompiers hauts-marnais sont revenus du Var dans la nuit de mardi à mercredi. Ils racontent la violence de ce feu exceptionnel, qui a coûté la vie à deux personnes et ravagé 7.000 hectares de forêt.
Rencontre avec ceux qui ont traversé le plus grand incendie de France. Pompiers, sinistrés, maires et vacanciers évacués nous livrent leurs témoignages et permettent de retracer le fil de cette semaine sous haute tension dans le Golfe de Saint-Tropez dans le Var.
Les importants moyens déployés par les sapeurs-pompiers de l’Hérault ont permis de maîtriser l’incendie qui s’était déclaré sur la commune de Cabrières. Le feu a parcouru 20 hectares mais plusieurs centaines d’autres ont été préservés. La circulation a dû être temporairement interrompue sur la RD15.
Dimanche 22 août, la gendarmerie du Var a arrêté un homme entre le Rayol et Cavalaire-sur-mer dans le Var. Il avait allumé un feu au bord d’une route départemental.
L’entreprise toulousaine Kepplair Evolution, en partenariat avec des chercheurs de l’INP de Toulouse, a pour projet de convertir des Airbus A330 en bombardiers d’eau. Le procédé doit permettre d’optimiser le largage de produits retardant tout en recyclant des avions destinés à la casse.
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