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Les arrêtés municipaux concernant le protoxyde d’azote se multiplient en Alsace. Comme ailleurs en France, les jeunes consomment ce gaz hilarant sans connaître ses effets néfastes sur la santé. A Illkirch, l’usage récréatif de ce produit et sa vente aux mineurs y sont désormais interdits.
En Eure-et-Loir, deux cas d’actes de cruauté envers des chevaux ont jusqu’à présent été répertoriés. Comme partout en France, l’inquiétude gagne les propriétaires de chevaux et les centres équestres. La gendarmerie eurélienne a mis en place un dispositif spécifique baptisé GendEquin 28.
Cinq individus mêlés à un réseau de trafiquants, à la cité des Oliviers, dans le 13e arrondissement de Marseille, ont été interpellés par la police judiciaire. Deux fusils d’assaut, des munitions, du cannabis et 3000 euros ont également été saisis.
Un homme a été gravement blessé ce matin à l’entrepôt de stockage de produits pétroliers de Grand-Quevilly (Seine-Maritime).
Un piéton de 87 ans a subi un choc avec un cycliste de 26 ans, en centre-ville de Grenoble, mercredi 9 septembre. L’octogénaire a été transporté au CHU Grenoble-Alpes.
La procureure de la République du Loiret a ouvert une enquête, ce mardi 8 septembre, avec les différents cas de mutilation de chevaux dans le département. Les investigations ont été confiées à la brigade de recherche de la gendarmerie de Pithiviers.
Le jeune homme pourrait se trouver en Picardie, près de Saint-Quentin.
Mercredi 9 septembre, le ministre de l’Agriculture Julien Denormandie a annoncé la mise en place d’un numéro vert pour répondre aux propriétaires de chevaux après les attaques qui se multiplient en France. Dans le Puy-de-Dôme, les propriétaires restent inquiets.
A Chamalières, près de Clermont-Ferrand, une octogénaire a été victime d’un vol à l’arraché lundi 7 septembre. Des passants ayant assisté à la scène ont maîtrisé la voleuse présumée et sont restés aux côtés de la victime jusqu’à l’arrivée de la police, selon le commissariat.
Les mutilations et agressions d’équidés se multiplient en France depuis plusieurs semaines. Dans l’Orne, un amoureux des chevaux a créé le groupe Facebook Surveillance équidés Basse-Normandie. Son but : susciter l’entraide plutôt que la psychose.
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