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Un hommage national a été rendu à Samuel Paty, mercredi 21 octobre. Beaucoup  d’anonymes entendaient défendre la liberté d’expression et les valeurs de la République. 

De nombreuses personnes se sont réunies mercredi 21 octobre à Toulouse (Haute-Garonne). Un hommage national qui prend une ampleur particulière dans la commune endeuillée il y a huit ans par les attentats de Mohamed Merah.   

Deux collégiens sont soupçonnés d’avoir aidé l’assassin présumé de Samuel Paty en échange d’une somme d’argent. Malgré leur jeune âge, ils ont été envoyés devant un juge, mercredi 21 octobre. 

La cérémonie d’hommage à Samuel Panty a été préparée depuis plusieurs jours en concertation avec la famille du professeur assassiné à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). 

À Paris, un hommage national est rendu, mercredi 21 octobre au soir, à Samuel Paty. Loin des caméras, Emmanuel Macron a remis la Légion d’honneur à titre posthume à l’enseignant.

M’Hammed Henniche, le dirigeant de la mosquée, a déposé ce recours auprès du tribunal administratif de Montreuil.

Tous ceux qui ont côtoyé Samuel Paty évoquent un homme passionné, joyeux et tolérant. France 3 a rencontré trois de ses proches, qui partagent leurs souvenirs.

A l’occasion de l’hommage national à Samuel Paty, mercredi, nous publions quelques-uns des 1 600 messages de soutien et d’hommage à l’enseignant envoyés par nos lecteurs.

Cultiver l’ouverture d’esprit est l’un des enjeux fondamentaux de l’école. Certains professeurs ont marqué la vie de certaines personnes à jamais. 

Au-delà du drame de Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines) et du rôle joué par un parent d’élève, la question est de savoir si les parents d’élèves sont devenus trop interventionnistes dans les salles de classe de leurs enfants. Certains estiment qu’ils affaiblissent l’autorité des enseignants.