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Deux personnes ont été blessées, dont une grièvement ce vendredi 25 septembre, près des anciens locaux de Charlie Hebdo, dans le XIe arrondissement de Paris. Deux personnes interpellées.
Qui se trouve derrière les attentats de Janvier 2015? Deux noms se dégagent. Ils auraient agi pour le compte de l’État islamique et d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique. La justice doit entendre Peter Cherif, témoin-clé du procès qui pourrait être un intermédiaire entre les terroristes et Al-Qaïda.
Quatre personnes ont été blessées, dont deux grièvement ce vendredi 25 septembre, près des anciens locaux de Charlie Hebdo, dans le XIe arrondissement de Paris. Une personne interpellée.
Quatre personnes ont été blessées, dont deux grièvement ce vendredi 25 septembre, près des anciens locaux de Charlie Hebdo, dans le XIe arrondissement de Paris. Une personne interpellée.
Qui se trouve derrière les attentats de Janvier 2015? Deux noms se dégagent. Ils auraient agi pour le compte de l’État islamique et d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique. La justice doit entendre Peter Cherif, témoin-clé du procès qui pourrait être un intermédiaire entre les terroristes et Al-Qaïda.
Qui se trouve derrière les attentats de Janvier 2015? Deux noms se dégagent. Ils auraient agi pour le compte de l’État islamique et d’Al-Qaïda dans la péninsule arabique. La justice doit entendre Peter Cherif, témoin-clé du procès qui pourrait être un intermédiaire entre les terroristes et Al-Qaïda.
Zarie Sibony, l’une des deux caissières de l’Hyper Cacher de la porte de Vincennes, est attendue mardi à la barre des assises de Paris. Elle témoigne de ces “quatre heures et quatre minutes” enfermée avec Amedy Coulibaly ce 9 janvier 2015, jour où elle a cru mourir et perdu des proches.
Le procès des attentats de 2015 qui s’est ouvert le 2 septembre rentre dans sa 4ième semaine d’audience. A partir de demain lundi la cour d’assises spéciale de Paris se penche sur la prise d’otages de l’Hyper Cacher le 9 janvier 2015 par Amédy Coulibaly. Quatre hommes, tous juifs, ont perdu la vie.
Un millier “d’artisans de la paix” ont convergé ce samedi 19 septembre à la sous-préfecture de Bayonne pour dénoncer le traitement d’exception réservé aux prisonniers basques et un blocage systématique de la part du parquet anti-terroriste.
Le massacre avait choqué la France et le Niger, en plein mois d’août, mais il n’avait pas été revendiqué. Un mois plus tard, le groupe Etat islamique reconnait être à l’origine de l’assassinat de 6 humanitaires français et 2 Nigériens. Parmi eux, une Montpelliéraine et une Toulousaine.
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