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La garde à vue du principal suspect a début vendredi à la mi-journée après son arrestation près de la place de la Bastille.

Les anciens locaux de Charlie Hebdo ne faisaient pas l’objet d’une surveillance particulière lorsque l’attaque à l’arme blanche est survenue ce vendredi 25 septembre. La polémique enfle au lendemain de cette agression qui a fait deux blessés.

Le parquet antiterroriste a été saisi de l’enquête sur l’attaque à l’arme blanche survenue vendredi 25 septembre à Paris. Le principal suspect assume les faits mais les enquêteurs doivent désormais déterminer s’il a agi seul ou non.

Les anciens locaux de Charlie Hebdo n’ont pas fait l’objet d’une surveillance particulière. Le ministre de l’Intérieur s’en est lui-même étonné et a annoncé des mesures supplémentaires pour éteindre la polémique. 

Le principal suspect a reconnu pendant sa garde à vue être à l’origine de l’attaque à l’arme blanche qui a fait deux blessés à Paris, indiquent des sources proches de l’enquête à franceinfo.

Le parquet antiterroriste a été saisi de l’enquête sur l’attaque à l’arme blanche survenue vendredi 25 septembre à Paris. Sept personnes sont actuellement en garde à vue, dont un jeune Pakistanais qui a très vite reconnu les faits.

Après le suicide de leur fille en juin 2019, les parents d’Evaëlle avaient porté plainte contre sa professeure de français, qui a été mise en examen au début du mois pour harcèlement sur mineure.

Gérald Le Corre est le responsable CGT des questions de santé au travail en Normandie. Il craint qu’un accident de même ampleur se produise à nouveau et réclame “une justice pénale impitoyable avec la délinquance des cols blancs”. Mais, selon lui, “ce n’est pas le discours du gouvernement d’Emmanuel Macron”.

Le jeune homme, âgé de 18 ans, a été interpellé dans le secteur de la Bastille, à Paris, vendredi midi. Né au Pakistan, arrivé en France en 2018, il ne “présentait aucun signe de radicalisation”, d’après le conseil départemental du Val-d’Oise où il avait été pris en charge. 

Gérald Le Corre est le responsable CGT des questions de santé au travail en Normandie. Il craint qu’un accident de même ampleur se produise à nouveau et réclame “une justice pénale impitoyable avec la délinquance des cols blancs”. Mais, selon lui, “ce n’est pas le discours du gouvernement d’Emmanuel Macron”.