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Placé en garde à vue depuis jeudi dernier, un jeune apprenti chauffeur routier est jugé ce mardi à Nîmes. Lors de sa formation, la semaine dernière, il aurait tenu des propos faisant l’apologie du terrorisme et menacé un collègue de décapitation.
À partir de ce lundi, huit suspects comparaissent devant le tribunal correctionnel de Nîmes. Ils sont poursuivis pour trafic de cannabis et participation à une association de malfaiteurs. En 2019, les gendarmes du GIGN avaient saisi 108 kilos de drogue dans un go-fast
Un homme d’une vingtaine d’années a été placé en détention ce samedi 7 novembre et devra répondre de faits d'”apologie du terrorisme, menaces et violences” devant la justice mardi. Le mis en cause aurait tenu des propos “en faveur de Daesh” lors d’une formation à Nîmes en début de semaine.
Un ancien joueur du Nîmes olympique (saison 2011-2012), avait été interpellé le 11 avril 2018 à Miami (Etats-Unis) pour “cambriolage à main armée” et “possession de cocaïne”. il encourrait la prison à vie mais il a en fait été victime d’un acte de malveillance.
En début de soirée, 2 novembre, un homme a tenté de pénétrer de force dans la cathédrale de Nîmes. Repoussé par les militaires du dispositif Sentinelle, il s’est mis à prier sur le parvis en criant « Allah Akbar » à plusieurs reprises. Il a été placé en garde à vue pour apologie du terrorisme.
Dans toutes les écoles, cette rentrée du 2 novembre a été l’occasion d’un hommage à Samuel Paty, professeur assassiné pour avoir montré des caricatures de Mahomet dans son cours. A Lunel, Nîmes ou encore Perpignan, des débats ont eu lieu et une minute de silence a été respectée en son honneur.
A Nîmes et sur les réseaux sociaux, une affiche placardée sur la vitrine d’une supérette a suscité la colère et l’incompréhension : le gérant indiquait que les personnes voilées n’étaient plus autorisées à entrer dans son magasin.
Un procès hors normes et sous haute surveillance s’est déroulé à Nîmes. Durant 4 jours, 10 prévenus étaient jugés pour un trafic de drogue à grande échelle au cœur d’un parking du quartier Pissevin. Des peines de 2 à 11 ans de prison ont été prononcées à l’encontre des dealers.
Nouvellement élu sénateur, Denis Bouad ne pouvait cumuler deux fonctions exécutives. Le président du conseil départemental du Gard a alors quitté sa fonction locale, dont l’intérim est assuré par Alexandre Pissas, depuis ce mercredi 28 octobre.
Un procès hors normes et sous haute surveillance a démarré aujourd’hui à Nîmes. 10 prévenus sont jugés pour un important trafic de drogue situé au cœur d’un parking du quartier Pissevin.
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