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Les deux hommes interpellés après le double homicide de Nexon seront présentés vendredi 18 juin à un juge d’instruction en vue de leur mise en examen. Mercredi 16 juin, une mère de famille et un voisin avait été retrouvés mort dans une maison en feu. Trois enfants avaient pu être secourus.
Mère de deux enfants en bas âges, Angélique Clere a été tuée par son ancien conjoint à Monéteau (Yonne) le 11 juin dernier. Animatrice en centre social puis auxiliaire de crèche, la jeune femme de 32 ans est décrite comme une personne discrète, douce et gentille par d’anciennes connaissances.
Ce lundi 14 juin, plus de 200 personnes se sont rassemblées sur le parvis de la mairie de Monéteau (Yonne) pour rendre hommage à la victime de 32 ans, assassinée en pleine rue vendredi par son ex-compagnon. Une minute de silence a été observée.
Le parquet d’Agen a ouvert une enquête pour “homicide volontaire sur concubin” et demandé le placement en détention provisoire du conjoint de la victime, retrouvée morte à Armillac ce 11 juin.
Après avoir reçu plusieurs coups de poings, la victime n’a pas hésité à enjamber le balcon de son appartement pour trouver refuge chez la voisine du dessous et échapper à son conjoint.
Les gendarmes ont fait une découverte glaçante vendredi 11 juin : le corps d’une femme décédée par arme blanche. Son concubin a été retrouvé et placé en garde à vue. Il a avoué être l’auteur du crime.
Vendredi 11 juin, une femme de 32 ans a été tuée de plusieurs coups de feu par son ex-compagnon à Monéteau, près d’Auxerre dans l’Yonne. Les associations qui viennent en aide aux femmes victimes de violence s’indignent de ce nouveau drame.
Une femme a été tuée par balles sous les coups de 16 heures dans le centre-ville de Monéteau (Yonne). L’auteur présumé des coups de feu a été interpellé par les gendarmes. Il s’agirait de l’ex-compagnon de la victime. Le couple était séparé.
Une femme est décédée ce mardi 8 juin 2021 à Mont-Saint-Aignan près de Rouen. Son compagnon l’aurait poignardée à plusieurs reprises. Il est en garde à vue.
Plusieurs parquets ont demandé ce lundi 7 juin des moyens supplémentaires pour lutter contre les violences conjugales. Parmi eux, le procureur de la République de Draguignan, Patrice Camberou. “Pour une prise en charge collective de cette délinquance très particulière,” ils formulent leur demande.
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