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L’expérience a commencé le 8 mars, journée des droits de la femme, sur deux lignes de bus de nuit à Marseille. La Régie des transports métropolitains (RTM) a ensuite adopté le dispositif. Désormais, les chauffeurs peuvent s’arrêter entre deux stations, à la demande.
Dans la nuit du lundi 29 novembre au mardi 30 novembre, la statue a été recouverte d’une peinture orange. Les arbres à proximité ont été gravés de croix gammées. La maire de Besançon annonce avoir porté plainte.
Une femme de 44 ans a été tuée ce vendredi soir à Epinay-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis. L’auteur des faits, son ancien compagnon, venait de sortir de prison, il avait été condamné pour violences et menaces.
Une femme de 44 ans a été tuée ce vendredi soir à Epinay-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis. L’auteur des faits, son ancien compagnon, venait de sortir de prison, il avait été condamné pour violences et menaces.
Les faits remontent au 18 novembre dernier. Dans la matinée, alertés par des proches inquiets, les secours retrouvent une femme blessée à coups de couteau dans son appartement de La Rochelle. Une enquête a été ouverte et son conjoint a finalement été interpellé en région parisienne.
Les faits remontent au 18 novembre dernier. Dans la matinée, alertés par des proches inquiets, les secours retrouvent une femme blessée à coups de couteau dans son appartement de La Rochelle. Une enquête a été ouverte et son conjoint est recherché.
Ce samedi après-midi, une manifestation contre les violences faîtes aux femmes était organisée dans le centre-ville de Lyon par le collectif Droit des femmes 69. Entre 4000 et 7500 personnes ont défilé.
Une femme de 44 ans a été tuée ce vendredi soir à Epinay-sur-Seine, en Seine-Saint-Denis. L’auteur des faits, son ancien compagnon, venait de sortir de prison, il avait été condamné pour violences et menaces.
À l’occasion de la journée internationale de lutte contre les violences faites aux femmes le 25 novembre dernier, une tribune a été rédigée par trois personnalités engagées à Tourcoing. Elles dénoncent notamment le manque de structures d’hébergement pour les femmes victimes de violences.
Une femme prise en charge en gynécologie obstétrique pour une fausse-couche samedi 13 novembre, au centre hospitalier de Béziers, est décédée le lendemain. La victime était mère de 4 enfants, dont un bébé de 13 mois.
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