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A Strasbourg, huit personnes impliquées dans deux affaire de trafics ont été interpellées par la police. Des armes, des stupéfiants et des espèces ont été saisis dans le quartiers du Neuhof et dans celui du Conseil des Quinze.
Il n’aura fallu que quelques jours aux enquêteurs pour remonter la piste des organisteurs de ce point de vente d’héroïne et de cocaïne. Tout a commencé par l’interpellation, par la police municipale d’Annecy, d’un jeune Albanais dans la forêt de Seynod, en possession de pochons d’héroïne
Ce mardi 2 février, les douanes font un bilan des saisies en Auvergne Rhône-Alpes et indiquent avoir mis la main sur plus de 5,5 tonnes de produits stupéfiants dans la région en 2020. Près de 1200 saisies ont été effectuées, “en dépit du contexte épidémique”.
L’affaire avait fait grand bruit, dans la nuit du 21 au 22 janvier dernier, un homme qui avait été conduit au CHU de Nantes après avoir été interpellé, avait réussi à s’enfuir, aidé en cela par plusieurs complices venu le libérer en plein hôpital. Il vient d’être retrouvé et interpellé.
Lundi dernier, en jouant dans un square, une enfant de cinq ans s’était blessée avec une seringue usagée. Pour prévenir de tels incidents, la municipalité de Montpellier souhaite mettre en place des “dispositifs de consommation à moindre risque” au sein d’une unité mobile.
Une opération des forces de l’ordre menée lundi au quartier de l’Alma, à Grenoble, a permis l’interpellation de onze personnes suspectées d’être impliquées dans un vaste réseau de trafic de drogue. Huit ont été mises en examen et la plupart incarcérées.
Dans le cadre d’une enquête relative à un important trafic de résine de cannabis importée d’Espagne, plusieurs interpellations ont eu lieu dans trois départements : la Meuse, la Marne et l’Aube.
La police a découvert 1 000 pieds de cannabis et une récolte de 60 kg d’herbe de cannabis dans un entrepôt de Boulogne-sur-Mer, jeudi 28 janvier. Le propriétaire a été placé en garde à vue.
La tragédie s’est déroulée à Sommières dans le Gard, dans la nuit du 22 au 23 mai 2017. Une mère de famille a tué son fils de 7 ans à coups de couteau. La justice doit désormais déterminer si cette mère infanticide peut être jugée aux Assises ou si sa responsabilité était altérée le soir des faits.
L’employé de la pénitentiaire a reconnu avoir introduit des objects illicites derrière les murs de la maison d’arrêt de Corse-du-Sud pour les fournir aux prisonniers. Il a été mis en examen notamment pour “trafic de stupéfiants”.
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