Chevaux mutilés : un nouveau cas en Auvergne
Vendredi 18 septembre, le cadavre d’un cheval mutilé a été découvert à Luneau dans l’Allier. Une enquête a été ouverte. Elle a a été confiée à la brigade de recherche de la gendarmerie de Vichy.
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Vendredi 18 septembre, le cadavre d’un cheval mutilé a été découvert à Luneau dans l’Allier. Une enquête a été ouverte. Elle a a été confiée à la brigade de recherche de la gendarmerie de Vichy.
Ce samedi 12 septembre 2020, à Bagnot (Côte-d’Or), une jument a été retrouvée blessée au niveau du poitrail droit. Les attaques se poursuivent dans la région mais l’enquête n’a pas encore pu identifier un suspect.
Par deux fois, ces derniers jours, des habitants ont fait fuir des individus qui voulaient visiblement s’en prendre à des chevaux. À Brains, des rondes nocturnes s’organisent. La population est aux aguets.
La gendarmerie d’Hazebrouck est “intéressée par toute information” qui pourrait faire avancer l’enquête.
En Eure-et-Loir, deux cas d’actes de cruauté envers des chevaux ont jusqu’à présent été répertoriés. Comme partout en France, l’inquiétude gagne les propriétaires de chevaux et les centres équestres. La gendarmerie eurélienne a mis en place un dispositif spécifique baptisé GendEquin 28.
La procureure de la République du Loiret a ouvert une enquête, ce mardi 8 septembre, avec les différents cas de mutilation de chevaux dans le département. Les investigations ont été confiées à la brigade de recherche de la gendarmerie de Pithiviers.
Les mutilations et agressions d’équidés se multiplient en France depuis plusieurs semaines. Dans l’Orne, un amoureux des chevaux a créé le groupe Facebook Surveillance équidés Basse-Normandie. Son but : susciter l’entraide plutôt que la psychose.
Ce lundi en fin d’après-midi à Albias près de Montauban une ponette de 6 ans a été blessée au niveau de la croupe. Une enquête pour actes de cruauté envers des animaux domestiques est ouverte.
Dans le Finistère, la gendarmerie patrouille de jour comme de nuit pour mettre fin à cette série macabre de mutilations de chevaux. Le mot d’ordre : rassurer et éviter que le monde équestre ne se fasse justice lui-même.
Les mutilations et agressions d’équidés se multiplient en France depuis plusieurs semaines. Dans l’Orne, un amoureux des chevaux a créé le groupe Facebook Surveillance équidés Basse-Normandie. Son but : susciter l’entraide plutôt que la psychose.