Des peines de réclusion criminelle allant jusqu’à 16 ans ont été prononcées par les juges dans l’affaire de l’attentat contre le professeur Samuel Paty, le 16 octobre 2020, à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines). Les trois accusés ébroïciens ont été condamnés à des peines de prison. Deux d’entre eux ont décidé de faire appel.
Avocat à Rennes, Vincent Berthault représentait la principale du collège du Bois-d’Aulne de Conflans-Sainte-Honorine où travaillait Samuel Paty. Il revient sur les sept semaines éprouvantes du procès de l’assassinat du professeur et sur son verdict qu’ils jugent, lui et sa cliente, “à la hauteur” de ce que représente l’enseignement.
La cour d’assises spéciale de Paris a condamné les huit personnes impliquées ce vendredi. Samuel Paty avait été décapité par un islamiste radical tchétchène abattu par la police peu après son acte, le 16 octobre 2020.
Le 20 décembre 2014, Bertrand Nzohabonayo dit “Bilal”, est abattu devant le commissariat de Joué-lès-Tours, en Indre-et-Loire. Le jeune homme de 20 ans vient de blesser 3 policiers à l’aide d’un couteau. Une agression aussitôt qualifiée d’attentat terroriste par les autorités, mais que contestent certains témoins et proches de Bertrand Nzohabonayo.
Le parquet national antiterroriste a requis, lundi 16 décembre 2024, des peines allant de un an de prison à 16 ans de réclusion criminelle à l’encontre des trois accusés ébroïciens impliqués, à des degrés divers, dans l’assassinat du professeur Samuel Paty le 16 octobre 2020.
Le projet de Musée Mémorial des victimes du terrorisme, demandé notamment par des proches des victimes de l’attentat de Nice, a été abandonné. Son inauguration, prévue en 2027 à Suresnes en région parisienne, ne devrait finalement pas avoir lieu en raison de contraintes budgétaires.
Ce lundi 9 décembre 2024, l’école élémentaire de Saint-Martin-d’Hardinghem (Pas-de-Calais) a officiellement été baptisée “école Dominique Bernard”. Un hommage aux enseignants et aux valeurs de la République que le conseil municipal tenait à mettre en œuvre, “pour ne pas oublier”.
Trois personnes ont été mises en examen ce samedi 7 décembre, d’après le parquet national antiterroriste. Elles sont soupçonnées d’avoir voulu commettre des actions terroristes en France. La mairie de Poitiers, évoquée comme potentielle cible, a publié un communiqué ce dimanche après-midi. On fait le point sur ce que l’on sait.
Suite au projet d’action violente déjoué à la mairie de Poitiers, trois hommes viennent d’être interpellés et mis en examen pour association de malfaiteurs terroriste criminelle. Deux d’entre eux sont également poursuivis pour fabrication non autorisée d’engin explosif. Il s’agit de jeunes âgés de 19 et 20 ans, arrêtés mardi et mercredi à Nîmes et Nantes.