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Plusieurs universités de France ont observé à midi, ce lundi une minute de silence à la mémoire de Samuel Paty, cet enseignant assassiné vendredi dernier par un terroriste islamiste. À Poitiers le président de l’université,Yves Jean, a rappelé l’attachement de l’université aux valeurs républicaines.
Samedi 17 octobre, les surveillants du centre pénitentiaire de Saint-Quentin-Fallavier sont intervenus dans une cellule où un détenu s’était tranché la gorge, le maintenant en vie jusqu’à l’arrivée des secours. Encore “choqué” par la scène, le personnel demande davantage de reconnaissance.
Dimanche 18 octobre, un défenseur des Kériolets de Pluvigner dans le Morbihan a fait un arrêt cardiaque sur le terrain de Landaul que son équipe de foot affrontait pour le compte de la coupe de Bretagne. Peut-on éviter ces incidents ?
De Belfort à Besançon, les communautés musulmanes de Franche-Comté s’expriment une après l’une après la mort de l’enseignant Samuel Paty, décapité pour avoir parlé à ses élèves de caricatures de Mahomet.
La gendarmerie du Haut-Rhin a lancé un un appel à témoins après la découverte d’une centaine de vélos vraisemblablement volés, lors d’une perquisition au domicile d’un particulier à Colmar.
Dimanche, à Grenoble, 1 500 personnes ont rendu hommage à Samuel Paty, professeur décapité le 16 octobre. Parmi les citoyens assemblés, Aboubakar. Cet assistant d’éducation d’origine tchadienne, Grenoblois depuis trois ans et musulman, dénonce un acte inadmissible, sans rapport avec l’islam.
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