“L’émotion politique n’est pas à la hauteur de ce qu’on vient de subir” : après le meurtre d’Aboubakar Cissé, l’inquiétude des musulmans de l’Oise

“L’émotion politique n’est pas à la hauteur de ce qu’on vient de subir” : après le meurtre d’Aboubakar Cissé, l’inquiétude des musulmans de l’Oise

Après le meurtre d’Aboubakar Cissé, 22 ans, dans une mosquée du Gard le 25 avril, la communauté musulmane oscille entre deuil et inquiétude. Plusieurs rassemblements d’hommage et de lutte contre l’islamophobie se sont tenus en France et dans la région. À Beauvais, la douleur est encore vive.