“On n’a pas signé pour travailler en zone de guerre”, après la fusillade les conducteurs de bus et tramways d’Avignon veulent des garanties

“On n’a pas signé pour travailler en zone de guerre”, après la fusillade les conducteurs de bus et tramways d’Avignon veulent des garanties

Après la fusillade de ce dimanche 2 mars à Avignon, qui a touché des façades de commerces, des vitres de voitures et qui a failli toucher un tramway, les chauffeurs de bus et tram ont exercé leur droit de grève ce lundi 3 mars et ils prolongeront en partie ce mardi. Ils protestent contre leurs conditions de travail et le manque de sécurité.