“Dans ton cul”, “t’es belle et bonne”, les propos dégradants et sexistes de trois opticiens à l’encontre de jeunes femmes devant le conseil de prud’hommes
Elles avaient 23 et 17 ans et disent avoir subi harcèlement moral, sexuel et propos sexistes de la part de leurs employeurs. Deux jeunes filles demandent la reconnaissance des préjudices qu’elles estiment avoir subis devant le conseil de prud’hommes de Nantes. Une expérience qui a laissé des traces. Vingt-six mois après son alternance dans ce magasin d’optique, l’une d’elles est suivie psychologiquement pour stress post-traumatique.
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Author: Sandrine Gadet