De l’Ukraine aux rings clandestins de l’extrême droite, l’inquiétant retour de “Sizyf” : “Cela me sidère que personne ne dise rien”
Donné pour mort en Ukraine en 2024, un jeune tarnais de 25 ans alias “Sizyf” est bien vivant et a retrouvé l’Hexagone, affichant sur les réseaux sociaux ses tatouages à la symbolique radicale et ses liens avec la mouvance néonazie. Comme lui, plusieurs figures de l’ultradroite française, passées par les zones de combat, réapparaissent dans le Sud-Ouest, entre salles de sport, combats clandestins et réseaux identitaires.
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Author: Dominique Durand