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Un couple d’une soixantaine d’années a été évacué en urgence absolue ce lundi 12 avril victime d’une grave intoxication au monoxyde carbone à son domicile de Conflandey en Haute-Saône. Trois autres personnes ont été plus légèrement atteintes.
Un couple d’une soixantaine d’années a été évacué en urgence absolue ce lundi 12 avril victime d’une grave intoxication au monoxyde carbone à son domicile de Conflandey en Haute-Saône. Trois autres personnes ont été plus légèrement atteintes.
L’accident mortel s’est déroulé dans la nuit de samedi à dimanche, sur la RN 83, à Arbois, dans le Jura. Le conducteur a été tué sur le coup.
Vendredi soir, un hangar agricole a pris feu, sur la commune de Charmoille, dans le Doubs. Deux sapeurs-pompiers volontaires de Vesoul ont été interpellés. C’est la stupéfaction à la caserne de Vesoul. Détails.
Ce jeudi 1er avril, le tribunal de Vesoul a rendu son jugement dans l’affaire de l’accident du travail qui avait tué le 21 août 2018 Mickaël Minella, sur le site d’Ikea Industry France à Lure, en Haute-Saône. L’ancien directeur du site a été relaxé.
Il n’a que 14 ans et déjà 7 années de course automobile, au volant d’un kart. Enzo Gal vit à Clerval, dans le Doubs. Il vient d’intégrer le prestigieux centre de formation de la fédération française de sport automobile, au Mans, dans la Sarthe. Reportage.
Le parquet de Lons-le-Saunier annonce l’ouverture d’une enquête, ce lundi 29 mars. Elle porte sur des mauvais traitements présumés sur un mouton, dans le Jura. Il aurait été enduit de peinture, puis tué. Des actions filmées et diffusées sur les réseaux sociaux.
L’athmosphère est toujours aussi pesante à l’Institut supérieur des Beaux-Arts de Besançon. L’enquête administrative n’a pas encore été rendue publique. Les esprits s’impatientent, alors qu’un collectif apporte son soutien au directeur Laurent Devèze. Explications.
Le parquet de Lons-le-Saunier annonce l’ouverture d’une enquête, ce lundi 29 mars. Elle porte sur des mauvais traitements présumés sur un mouton, dans le Jura. Il aurait été enduit de peinture, puis tué. Des actions filmées et diffusées sur les réseaux sociaux.
L’athmosphère est toujours aussi pesante à l’Institut supérieur des Beaux-Arts de Besançon. L’enquête administrative n’a pas encore été rendue publique. Les esprits s’impatientent, alors qu’un collectif apporte son soutien au directeur Laurent Devèze. Explications.
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