Jeunes agressés et filmés à Reims : trois questions à un pédopsychiatre sur le “happy slapping”
Le phénomène, qui consiste à filmer des agressions et les diffuser largement sur les réseaux sociaux, est de plus en plus présent.
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Le phénomène, qui consiste à filmer des agressions et les diffuser largement sur les réseaux sociaux, est de plus en plus présent.
Le phénomène, qui consiste à filmer des agressions et les diffuser largement sur les réseaux sociaux, est de plus en plus présent.
Une cinquantaine de députés ont reçu des menaces de morts accompagnées de photos violentes. Charles De Courson, député centriste de la Marne et François Cornut-Gentille, député (LR) de Haute-Marne, destinataires de ces mails, réagissent. Une enquête est ouverte.
Mis en examen pour “participation à un attroupement armée en vue de commettre des violences ou des dégradations” dans le cadre de l’enquête de l’agression de Christian Lantenois, le deuxième suspect a été libéré sous contrôle judiciaire samedi 6 mars 2021.
Recherché par la police, un deuxième homme suspecté d’avoir participé à l’agression du photographe de l’Union, Christian Lantenois, a été placé en garde à vue.
Après l’agression du journaliste-photographe, Christian Lantenois, survenue samedi 27 février, dans le quartier Croix-Rouge, à Reims, le maire de la ville a tenu une conférence de presse, pour souligner les efforts accomplis par la ville dans ce secteur et appeler à plus de fermeté.
Matthieu Bourrette s’est exprimé ce mercredi face à la presse pour donner les circonstances de l’agression de Christian Lantenois samedi 27 février à Reims dans le quartier Croix-Rouge.
Un homme né en 1999 a été interpellé lundi en fin de journée. Il a été présenté au palais de justice de Reims. Le procureur de la République va s’exprimer ce mercredi après-midi, 3 mars, sur l’enquête suite à l’agression d’un photographe du journal L’Union dans le quartier Croix-Rouge de Reims.
Après la violente agression du photojournaliste Christian Lanternois, à Reims, quartier Croix-Rouge, samedi 27 février, la rédaction est sous le choc mais déterminée à continuer à informer.
“Le terrain n’est pas abandonné mais nous avons trop peu d’effectifs pour l’occuper”, estime François Swiderski, secrétaire départemental Alliance Police Nationale Marne.