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En attendant l’hommage national qui sera rendu au professeur décapité hier à Conflans Saint Honorine, plusieurs personnalités religieuse ou politique normandes ont fait part de leur effroi et de leur colère.
Entre 200 et 250 personnes se sont rassemblées à Nancy en fin d’après midi. Elles sont venues rendre hommage à la mémoire du professeur d’histoire-géographie, qui avait montré à ses élèves des caricatures de Mahomet et qui a été décapité près d’un collège à Conflans-Sainte-Honorine (Yvelines).
Les professeurs d’Histoire-Géographie appellent à un rassemblement en hommage à leur collègue Samuel Paty, assassiné à Conflans-Sainte-Honorine, dans les Yvelines. Il se déroulera lundi 19 octobre, à 16h30, devant la statue de Victor Hugo, sur l’Esplanade des Droits de l’Homme.
À Rennes, citoyens et enseignants se sont rassemblés pour rendre hommage au professeur d’un collège décapité dans les Yvelines.
Un jeune homme de vingt ans a été retrouvé mort ce samedi 17 octobre au squat Bugatti à Eckbolsheim. Arrivé hier soir dans un état décrit comme “comateux”, il a été pris en charge par les résidents qui l’ont couché sur le canapé après avoir discuté avec lui. Une enquête a été ouverte.
Ce vendredi 16 octobre, un enseignant d’histoire-géographie a été victime d’un attentat terroriste dans les Yvelines, à Conflans-Sainte-Honorine. L’indignation et l’émotion sont partagées en Bourgogne.
Plusieurs manifestations non autorisées se sont déroulées dans Lyon, qui ont donné lieu à des affrontements entre les manifestants et les forces de l’ordre.
Des syndicats enseignants appellent à un rassemblemen, ce dimanche 18 octobre à Nantes, en hommage au professeur assasiné Conflans-Saint-Honorine dans les Yvelines. Le rendez-vous est fixé à 15heures devant la préfecture.
Un professeur d’histoire-géographie a été assassiné ce vendredi à Conflans-Sainte-Honorine près du collège dans lequel il enseignait. En Normandie, plusieurs rassemblements sont organisés ce weekend à l’initiative de la FSU.
Entre fusillades et coups de feu à répétition en l’espace quelques jours, la ville de Nancy sombre doucement mais surement dans un climat d’insécurité. Pas de victimes mais le syndicat FO interpelle le ministre de l’intérieur sur le sujet. Il faut d’urgence des renforts d’effectifs.
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