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Pour cette 37e édition des journées européennes du patrimoine, 344 manifestations sont organisées dans le Bas-Rhin, 148 dans le Haut-Rhin. Une offre légèrement à la baisse cette année mais de quoi faire tout de même. Masqué évidemment. Reportage à Strasbourg.
Six personnes, dont trois policiers ont été blessées lors d’une course-poursuite avec une voiture dans la nuit de vendredi à samedi à Lorient.
Un adolescent de 15 ans armé d’un fusil non chargé s’est introduit dans un lycée de Saint-Médard-en-Jalles, mercredi 16 septembre. Il a été interpellé puis placé en centre éducatif fermé, indique le parquet. Il n’a pas voulu s’expliquer lors de sa garde à vue.
Un incendie a détruit la ferme d’un jeune fromager à Saint-Gervais-les-Bains le 10 septembre dernier. Pour lui venir en aide, le maire de la commune a lancé une cagnotte en ligne. A ce jour, plus de 19.000 euros ont déjà été récoltés.
L’homme de 37 ans interpellé hier à son domicile est passé aux aveux. Cependant l’incendiaire présumé ne reconnaît qu’une dizaine de faits sur les 24 incendies perpétrés à Villaudric et les villages alentours. Récidiviste, il encourt entre 10 et 20 ans de prison.
Des chevaux, des ânes, des poneys tués ou mutilés… Depuis le début de l’été 2020, ces actes de cruauté envers les animaux, commis dans de nombreuses régions de France, ont fait la une des media. Une affaire de mauvais traitements loin d’être la seule en Normandie. Enquête.
Un homme de 36 ans a été mis en examen et écroué ce vendredi. Il est soupçonné d’avoir enlevé, séquestré et drogué deux mineures, l’une à Royan le 10 septembre, l’autre à Saint-Palais-sur-Mer le 26 août.
Plusieurs détonations ont été entendus en fin de matinée dans une résudence du quartier Rangueil à Toulouse.il semblerait qu’un ou plusieurs individus ssoient retranchés dans un appartement. Le raid est sur place.
Le calme pourrait bientôt revenir à Saint-Honoré-les-Bains, dans la Nièvre. Les squatteurs qui occupent une maison de la commune depuis plusieurs semaines vont être mis en demeure de quitter les lieux. S’ils ne partent pas d’eux-mêmes, la gendarmerie interviendra.
Le massacre avait choqué la France et le Niger, en plein mois d’août, mais il n’avait pas été revendiqué. Un mois plus tard, le groupe Etat islamique reconnait être à l’origine de l’assassinat de 6 humanitaires français et 2 Nigériens. Parmi eux, une Montpelliéraine et une Toulousaine.
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