Abdelhakim Sefrioui, activiste islamiste, avait publié une vidéo exigeant le renvoi de Samuel Paty, assassiné vendredi 16 octobre. L’homme est au coeur de l’enquête.
L’académie de Versailles assure qu’elle a “conforté dans son approche” l’enseignant mis en cause par le père de famille et le militant islamiste placés en garde à vue. “A aucun moment, il n’a été dit, ni même sous-entendu, ni pensé que l’institution allait ‘sévir’ contre lui”.
Le jeune Russe de 18 ans est décrit comme “discret” et “plongé dans la religion” depuis plusieurs années. Il était inconnu des services de renseignement.