Après la mort de trois gendarmes tués par un forcené à Saint-Just (Puy-de-Dôme), dans la nuit du 22 au 23 décembre, l’émotion est forte au sein de la population et dans la gendarmerie.
Après la mort de trois gendarmes dans la nuit du 22 au 23 décembre à Saint-Just (Puy-de-Dôme), le profil du tireur se précise. Les informations de Camille Da Silva, journaliste en duplex pour France Télévisions.
Après la tuerie de Saint-Just (Puy-de-Dôme), dans la nuit du 22 au 23 décembre, lors de laquelle trois gendarmes ont été abattus, les premiers éléments sur le profil du forcené font état d’un individu particulièrement violent et dangereux.
Trois gendarmes ont perdu la vie dans la nuit de mardi à mercredi 23 décembre, à Saint-Just, dans le Puy-de-Dôme. Ils ont été abattus alors qu’ils venaient porter secours à une femme victime de violences conjugales. On en sait plus sur le tireur.
Une battue s’est tenue, mercredi 23 décembre, une semaine après la disparition de Delphine Jubillar, dans le Tarn. Une dizaine d’objets, dont des chaussettes, ont été trouvés.
Dans la nuit du mardi 22 au mercredi 23 décembre, trois gendarmes ont été tués et un quatrième blessé par un forcené près de Saint-Just, dans le Puy-de-Dôme. Les quatre militaires de la compagnie d’Ambert avaient été appelés pour des faits de violence sur conjoint.
Un échouage peu fréquent sur les plages de l’Hérault. L’animal égaré, secouru par les pompiers mercredi 23 décembre, fait environ 150 kilos et a été ramené à un mille nautique, près de deux kilomètres de la côte. “Un moment inoubliable” a réagi le Sdis.