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Jeudi 4 novembre, un TER a percuté un groupe de migrants sur une voie ferrée située à l’est de Calais, près d’un campement, faisant un mort et trois blessés. Un nouveau drame sur la route de l’exil, qui survient sous fond de tension entre militants et autorités.
Ce jeudi 4 novembre, dans la soirée, un TER a percuté un groupe de quatre migrants érythréens, dans le quartier de Beau Marais, à Calais. Bilan : un mort, un blessé en urgence absolue, deux blessés légers.
Ce jeudi 4 novembre, dans la soirée, un TER a percuté un groupe de quatre migrants érythréens, dans le quartier de Beau Marais, à Calais. Bilan : un mort, un blessé en urgence absolue, deux blessés légers.
Ce jeudi 4 novembre, dans la soirée, un TER a percuté un groupe de quatre migrants érythréens, dans le quartier de Beau Marais, à Calais (Pas-de-Calais). Bilan : un mort, un blessé en urgence absolue, deux blessés légers.
Ils auraient tenté une traversée vers la Grande-Bretagne. Mercredi 3 novembre, la gendarmerie de la Somme a retrouvé quarante-neuf migrants en état d’hypothermie dans les dunes de Saint-Quentin-en-Tourmont sur le littoral picard.
Un navire transportant dix réfugiés syriens d’une même famille et un skipper allemand a été pris en charge dans la nuit de mardi à mercredi. Il a accosté vers minuit au port de commerce de Porto-Vecchio.
A Perpignan, la situation devient critique dans les structures d’accueil pour sans-abris. Une marche blanche a été organisée en début d’après-midi pour sensibiliser l’opinion aux dangers qu’ils encourent. Et notamment ceux liés à la prise de drogues qui s’est généralisée dans le département.
Trois semaines après la mort de Yasser, un jeune Soudanais mortellement percuté en voulant monter dans un camion, un nouveau migrant est décédé à Calais dans des conditions similaires. Les associations reportent la réunion prévue avec les services de l’Etat ce jour et organisent une commémoration.
Depuis neuf mois, cinq routes transfrontalières sont fermées par des blocs de béton sur arrêté préfectoral au nom de la lutte contre l’immigration clandestine, le risque terroriste et le trafic de drogue. A Banyuls-sur-Mer, l’exaspération monte chez les habitants qui ont dû changer leurs habitudes.
Le procureur de Bayonne, Jérôme Bourrier, a détaillé les circonstances établies de ce drame où trois migrants sont morts, un autre est grièvement blessé. Leur identification est pour l’heure incertaine.
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