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Disparue depuis le 24 avril, la gendarmerie du Lot avait lancé un appel à témoin afin de retrouver Chantal Bas. La femme de 84 ans a été finalement retrouvée jeudi 29 avril. Elle est restée plusieurs jours bloquée dans sa voiture, sortie de route.
Disparue depuis le 24 avril, la gendarmerie du Lot avait lancé un appel à témoin afin de retrouver Chantal Bas. La femme de 84 ans a été finalement retrouvée jeudi 29 avril. Elle est restée plusieurs jours bloquée dans sa voiture, sortie de route.
Un cadavre a été repêché dans le Lot le dimanche 25 avril. Il s’agit du corps d’une femme de 65 ans environ aperçu par un pêcheur. L’enquête a été confiée à la police nationale de Cahors.
Alors que la majorité des résidents de deux Ehpad de Balma, à l’est de Toulouse, et de Luzech dans le Lot, ont été vaccinés contre le Covid -19, deux clusters ont été signalés avec un décès, imputable à la covid, dans chacun des établissements.
A Duravel dans le Lot, on fête la période de Pâques avec humour et légèreté. Dans ce village de 975 âmes, des gallinacés imaginaires sont apparus un peu partout à l’initiative d’une association locale pour lutter contre la morosité.
La gendarmerie de Figeac lance un avis de recherche pour une disparition inquiétante. Un habitant de Felzins (46), commune située à une dizaine de kilomètres de Figeac, a quitté son domicile, ce 30 mars 2021, et n’a pas été revu depuis.
Un agriculteur de 80 ans a perdu la vie hier mercredi 17 février dans un accident de quad à Puy-l’Evêque sur la commune de Boulvé dans le Lot. Tombé dans un fossé gorgé d’eau et coincé sous son quad, il n’aurait pas pu se dégager. Il est décédé malgré l’intervention des secours.
Le champion toute catégorie de la semaine est un limougeaud ! Ce sont les gendarmes du département du Lot qui racontent l’histoire.
Pour écarter toute polémique sur le sujet, le directeur départemental de la sécurité publique à Cahors, Patrick Meynier, précise “que les chasseurs qui ont été obligés d’abattre le sanglier ne chassaient pas au centre-ville. Ils ont été appelés par des habitants apeurés et ont suivi le protocole”.
Pour écarter toute polémique sur le sujet, le directeur départemental de la sécurité publique à Cahors, Patrick Meynier, précise “que les chasseurs qui ont été obligés d’abattre le sanglier ne chassaient pas au centre-ville. Ils ont été appelés par des habitants apeurés et ont suivi le protocole”.
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