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Cinq jours après l’apparition des premières fissures sur deux immeubles de la rue de Bourgogne à Orléans (Loiret), les habitants ne peuvent toujours pas rentrer chez eux.
Cinq jours après l’apparition des premières fissures sur deux immeubles de la rue de Bourgogne à Orléans (Loiret), les habitants ne peuvent toujours pas rentrer chez eux.
Les immeubles 19 et 21 de la rue de Bourgogne, à Orléans, présentent d’impressionnantes fissures sur leurs façades, deux jours après l’évacuation de leurs occupants. Des écoulements auraient créé une cavité sous les fondations, et ont fait s’effondrer la voirie.
Un couple de septuagénaire a été évacué dans la nuit de lundi 27 à mardi 28 décembre de son logement de Tergnier, dans l’Aisne. Les victimes sont saines et sauves mais la famille met en cause la nouvelle chaudière installée par le bailleur social.
Après la visite d’un appartement sur la commune de Juillan dans les Hautes-Pyrénées, une dame contacte, affolée, les gendarmes. À peine rentrée, dans le logement qu’elle envisageait de louer, un homme s’est dévêtu et s’est allongé sur le lit…
À Niort dans les Deux-Sèvres, une bâtisse bien particulière intrigue le voisinage. Un ancien château-d ‘eau a été réhabilité en maison sur trois niveaux. Un lieu de vie insolite et une prouesse technique hors norme.
À Niort dans les Deux-Sèvres, une bâtisse bien particulière intrigue le voisinage. Un ancien château-d ‘eau a été réhabilité en maison sur trois niveaux. Un lieu de vie insolite et une prouesse technique hors norme.
À Niort dans les Deux-Sèvres, une bâtisse bien particulière intrigue le voisinage. Un ancien château-d ‘eau a été réhabilité en maison sur trois niveaux. Un lieu de vie insolite et une prouesse technique hors norme.
À Niort dans les Deux-Sèvres, une bâtisse bien particulière intrigue le voisinage. Un ancien château-d ‘eau a été réhabilité en maison sur trois niveaux. Un lieu de vie insolite et une prouesse technique hors norme.
Le 21 juin dernier, deux immeubles de la rue de la Rousselle, en plein centre-ville de Bordeaux, s’effondraient, et 130 riverains devaient quitter leurs domiciles, avec l’évacuation d’autres immeubles adjacents. Cinq mois plus tard, une nouvelle phase de déblaiement des gravats a débuté.
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