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En fin d’après-midi ce mercredi, le corps sans vie d’une femme a été retrouvé à Saint Julien de la Nef. Il s’agit de l’infirmière disparue le samedi 19 septembre dans le secteur de Pont d’Hérault dont le véhicule avait été retrouvé dimanche.
Un voyageur est décédé ce mercredi, en fin d’après-midi, à la gare SNCF de Montpellier Saint-Roch. Il a été heurté par un train. Conséquence, la circulation ferroviaire est totalement coupée depuis 17h30. Les TER et TGV au départ ou passant par cette gare sont tous bloqués.
L’explosion d’une bouteille de gaz à bord d’une péniche sur le canal du Midi à Vias ce mercredi matin a fait 2 blessés. Les 2 victimes sont deux hommes, l’une d’entre elle est en situation d’urgence absolue.
L’homme de 24 ans se disant jusque là victime de l’accident qui a eu lieu vers 2h45, dimanche, à Abeilhan, a en fait avoué être le conducteur de la voiture folle. Ce dernier a percuté un groupe de jeunes faisant 1 mort et 2 blessés. Il a été placé en détention provisoire pour meurtre et tentative.
L’épisode pluvio-orageux de ce samedi 19 septembre a été particulièrement sévère. Il a principalement touché les zones situées au pied des Cévennes. Pour autant, on ne peut pas vraiment le qualifier d’épisode cévenol.
Ce dimanche aux alentours de 13h un individu a vandalisé l’église Saint Sixte II, située sur la commune de Pérols. Incendie, excréments, crachats, chaises renversées, les dégâts ont été conséquents.
Cette nuit aux alentours de 3h du matin, un automobiliste a foncé sur des individus sur la commune d’Abeilhan près de Béziers. Une personne est décédée, trois autres personnes sont actuellement en urgence absolue.
Le massacre avait choqué la France et le Niger, en plein mois d’août, mais il n’avait pas été revendiqué. Un mois plus tard, le groupe Etat islamique reconnait être à l’origine de l’assassinat de 6 humanitaires français et 2 Nigériens. Parmi eux, une Montpelliéraine et une Toulousaine.
Ce vendredi 18 septembre, face à l’évolution rapide de l’épidémie de Covid-19, le CHU de Montpellier déclenche la phase 1 de son plan blanc. 45 personnes sont actuellement hospitalisées à Montpellier, dont 13 sont au service de réanimation, deux fois plus que la semaine dernière.
Le massacre avait choqué la France et le Niger, en plein mois d’août, mais il n’avait pas été revendiqué. Un mois plus tard, le groupe Etat islamique reconnait être à l’origine de l’assassinat de 6 humanitaires français et 2 Nigériens. Parmi eux, une Montpelliéraine et une Toulousaine.
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