La Revue de presse de nos compagnons
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Il était retenu depuis août 2020 par un groupe lié à Al-Qaïda. Omar Diaby a, selon des sources concordantes, été remis en liberté.
La préfète de l’Oise a pris un arrêté lundi 27 décembre ordonnant la fermeture de la Grande mosquée de Beauvais pour une durée de six mois. En cause, des prêches “incitant à la haine”, “à la violence” et “faisant l’apologie du jihad”.
La préfète de l’Oise a pris un arrêté lundi 27 décembre ordonnant la fermeture de la Grande mosquée de Beauvais pour une durée de six mois. En cause, des prêches “incitant à la haine”, “à la violence” et “faisant l’apologie du jihad”.
Selon un communiqué de la préfecture de la Sarthe, l’établissement religieux serait fréquenté par des “individus appartenant ou proches de la mouvance islamiste radicale”. Une procédure de fermeture est engagée. En parallèle, le parquet indique qu’une enquête judiciaire est en cours.
Selon un communiqué de la préfecture de la Sarthe, l’établissement religieux serait fréquenté par des “individus appartenant ou proches de la mouvance islamiste radicale”. Une procédure de fermeture de la mosquée d’Allonnes est engagée.
Selon un communiqué de la préfecture de la Sarthe, l’établissement religieux serait fréquenté par des “individus appartenant ou proches de la mouvance islamiste radicale”. Une procédure de fermeture de la mosquée d’Allonnes est engagée.
Selon un communiqué de la préfecture de la Sarthe, l’établissement religieux serait fréquenté par des “individus appartenant ou proches de la mouvance islamiste radicale”. Une procédure de fermeture du lieu de culte est engagée.
L’association Nawa, basée à Pamiers dans l’Ariège, vient d’être dissoute, vendredi 29 septembre, par le gouvernement français. Le ministre de l’Intérieur estime que cette maison d’édition est “en réalité un organe de propagande islamiste qui incite à la haine et à la violence”. Éléments de réponse.
Une maison d’éditions basée à Pamiers en Ariège est suspectée de diffuser des livres prônant le jihad. Le ministre de l’intérieur a demandé sa dissolution.
En septembre, un quartier de prise en charge de la radicalisation va ouvrir au centre pénitentiaire des femmes de Rennes. Un des quartiers de la prison a été aménagé et sécurisé pour accueillir ces détenues pour une période de six mois renouvelables.
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