La directrice du patrimoine à Martigues placée en détention dans l’Affaire de la Semivim
Les enquêteurs débarquent en nombre dans les affaires de la SEMIVIM, la société HLM de Martigues. Sa directrice est placée en détention provisoire.
La Revue de presse de nos compagnons

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Les enquêteurs débarquent en nombre dans les affaires de la SEMIVIM, la société HLM de Martigues. Sa directrice est placée en détention provisoire.
Les deux co-référents d’Anticor en Loir-et-Cher ont fait remonter les révélations de Mediapart sur Guillaume Peltier à leur conseil d’administration. Mais les liens d’un des deux avec la fédération Les Républicains du département font grincer quelques dents.
Au premier jour du procès de l’ancien maire de Bruges, ses avocats avaient requis la nullité de la procédure. Les débats auront pourtant lieu, les juges statueront sur cette demande lors du délibéré.
Au premier jour du procès de l’ancien maire de Bruges, ses avocats avaient requis la nullité de la procédure. Les débats auront pourtant lieu, les juges statueront sur cette demande lors du délibéré.
Bernard Seurot, maire de Bruges de 1995 à 2010, va devoir répondre de corruption passive devant le tribunal correctionnel de Bordeaux. La justice lui reproche d’avoir bénéficié des largesses d’entreprises du BTP, et suspecte des anomalies dans plusieurs marchés remportés par ces entreprises.
Bernard Seurot, maire de Bruges de 1995 à 2010, va devoir répondre de corruption passive devant le tribunal correctionnel de Bordeaux. La justice lui reproche d’avoir bénéficié des largesses d’entreprises du BTP, et suspecte des anomalies dans plusieurs marchés remportés par ces entreprises.
Loi Sapin 2 inexistante, pas de contrôle des frais, des marchés publics douteux… Un rapport confidentiel de l’Agence française anticorruption, consulté par Mediapart, pointe des dysfonctionnements et des “risques atteintes à la probité” à la chambre de commerce et d’industrie de Nice.
La justice s’intéresse à la gestion des ports de Menton par le maire de la ville, Jean-Claude Guibal. Plusieurs perquisitions, dont une au domicile du maire, ont été réalisées mercredi 21 juillet.
Le tribunal correctionnel de Toulouse qui devait juger ce jour le couple de hauts fonctionnaires des impôts soupçonnés de corruption et violation du secret professionnel, a décidé d’accéder à la requête de la défense et de renvoyer l’affaire vers l’instruction. L’audience a donc été annulée.
Mardi 16 février, l’avocat général de la cour d’appel correctionnelle de Toulouse a requis dix ans d’inéligibilité et dix mois de prison avec sursis à l’encontre de l’ancien maire de Gaillac (Tarn). Patrice Gausserand comparaissait en appel pour corruption passive et prise illégale d’intérêt.