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Le parquet de Blois a annoncé ce lundi 27 septembre le démantèlement d’un réseau de trafic de stupéfiants basé à Blois au cours de la semaine passée.
Un mouvement de grève reconductible a été voté ce 3 septembre par un collectif d’étudiants de l’Institut national des sciences (INSA) Blois. Ils rejoignent certains enseignants de l’école d’ingénieurs, qui protestent contre le maintien en poste du directeur de l’établissement, accusé de harcèlement.
Porté disparu ce mardi 20 juillet, l’homme a été retrouvé mort avec une plaie au niveau du thorax sur son lieu de travail, à Blois dans le Loir-et-Cher. Un homme de 56 ans et inconnu des services de police, avait été arrêté sur les lieux du crime et placé en garde à vue avant d’être relâché hier.
Porté disparu ce mardi 20 juillet, l’homme a été retrouvé mort avec une plaie au niveau du thorax sur son lieu de travail, à Blois (Loir-et-Cher). Un homme âgé de 56 ans et inconnu des services de police, a été arrêté sur les lieux du crime et placé en garde à vue. Il est actuellement entendu.
Porté disparu ce mardi 20 juillet, l’homme a été retrouvé mort avec une plaie au niveau du thorax sur son lieu de travail, à Blois (Loir-et-Cher). Un homme âgé de 56 ans et inconnu des services de police, a été arrêté sur les lieux du crime et placé en garde à vue. Il est actuellement entendu.
C’est une affaire non résolue qui laisse une famille entière depuis 18 ans sans réponse, Abdelmounaim El Haddadi a disparu le 15 janvier 2003. Sa famille relance la justice et souhaite qu’une enquête soit ouverte afin de connâitre enfin la vérité.
C’est une affaire non résolue qui laisse une famille entière depuis 18 ans sans réponse, Abdelmounaim El Haddadi a disparu le 15 janvier 2003. Sa famille relance la justice et souhaite qu’une enquête soit ouverte afin de connâitre enfin la vérité.
C’est une affaire non résolue qui laisse une famille entière depuis 18 ans sans réponse, Abdelmounaim El Haddadi a disparu le 15 janvier 2003. Sa famille relance la justice et souhaite qu’une enquête soit ouverte afin de connâitre enfin la vérité.
Suite aux faits de violences urbaines survenues dans la nuit du 16 au 17 mars, deux personnes ont été interpellées et placées en détention provisoire. Elles risquent jusqu’à cinq ans d’emprisonnement.
Dans un communiqué détaillé, le procureur de la République revient sur la collision qui a eu plusieurs conséquences tragiques, dont la mort du jeune Yanis, 16 ans, passager arrière du véhicule.
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