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Le chef présumé de la bande dite du Petit Bar a été mis en examen et placé en détention à l’UHSI de Marseille jeudi 14 janvier. L’enquête, menée par la jurdiction interrégionale spécialisée de Marseille concerne les activités financières du groupe.
Dimanche 10 janvier, trois interventions de la gendarmerie à Ajaccio, menées par la juridiction interrégionale spécialisée (Jirs) de Marseille, ont conduit à huit interpellations. Il s’agit de proches de la bande dite du Petit Bar.
Ce dimanche 10 janvier, une vaste opération de gendarmerie se tient à Ajaccio. Les forces de l’ordre interviennent dans trois lieux différents.
Joseph Menconi, figure du milieu corse, a été mis en examen, en novembre dernier, dans une enquête portant notamment sur la tentative d’évasion de Redoine Faïd de la prison de Fresnes prévue en 2017. L’homme est également mis en cause dans la tentative d’assassinat de Guy Orsoni en septembre 2018.
A près plusieurs semaines d’enquête, la police lyonnaise a démantelé un réseau de revente de cigarettes de contrebande. 11 personnes ont été interpellées et 1080 paquets de cigarettes saisis.
Le tribunal d’Ajaccio a condamné Louis Carboni à quatre ans de prison ferme pour détention et transport d’arme. L’homme, fiché au grand banditisme, avait été interpellé dans la périphérie d’Ajaccio mi-novembre au volant d’un véhicule blindé immatriculé en Russie.
Mardi, un homme fiché au grand banditisme a été interpellé dans la périphérie d’Ajaccio. Détenteur d’une arme de poing et porteur d’un gilet par balle, il a été déféré au parquet ce jeudi.
Le 14 novembre dernier, le collectif Maffia No-A vit aie a organisé son sixième débat autour du grand banditisme en Corse. Une annonce : le lancement d’une pétition réclamant une loi de redistribution des “avoirs mafieux”. Un outil utilisé depuis 1996 en Italie.
Selon une enquête publiée ce dimanche par L’Obs, le retraité aurait été assassiné par erreur, victime d’une guerre entre deux clans pour prendre le contrôle de la Chambre de commerce et d’industrie (CCI) de Corse-du-Sud et de ses marchés.
Le parquet national antiterroriste a ouvert une enquête pour “association de malfaiteurs terroriste” après une conférence de presse clandestine le 28 octobre en Haute-Corse. Le groupe, qui se revendique du FLNC 76, dénoncait alors l’inaction de l’État dans la lutte contre la Covid-19 en Corse.
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