La Revue de presse de nos compagnons
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Une famille d’Amuré (Deux-Sèvres) pensait ne jamais retrouver son chat disparu en 2015, mais Crackers est finalement réapparu.
Les variations chromatiques des carpes koï ne sont pas infinies, mais presque, rouge, bleu, violine, blanche, monochrome, bicolore. Ces poissons d’ornement égaient les mares et les bassins extérieurs des passionnés. Rencontre avec Rozenn et Stéphane, éleveurs de carpes koï en Loire-Atlantique.
Les variations chromatiques des carpes koï ne sont pas infinies, mais presque, rouge, bleu, violine, blanche, monochrome, bicolore. Ces poissons d’ornement égaient les mares et les bassins extérieurs des passionnés. Rencontre avec Rozenn et Stéphane, éleveurs de carpes koï en Loire-Atlantique.
C’est la semaine dernière que Laurent Seyn a fait la macabre découverte : l’une de ses juments gisait au sol, le corps déchiqueté par un loup.
Monsieur le maire de Frossay voit rouge, un taureau réputé dangereux divague sur le territoire de la commune. Par arrêté municipal, il s’autorise à abattre l’animal. Le propriétaire a jusqu’au 8 février pour prendre les précautions nécessaires. Pour autant, le sort du taureau semble scellé.
Monsieur le maire de Frossay voit rouge, un taureau réputé dangereux divague sur le territoire de la commune. Par arrêté municipal, il s’autorise à abattre l’animal. Le propriétaire a jusqu’au 8 février pour prendre les précautions nécessaires. Pour autant, le sort du taureau semble scellé.
C’est la semaine dernière que Laurent Seyn a fait la macabre découverte : l’une de ses juments gisait au sol, le corps déchiqueté par un loup.
Monsieur le maire de Frossay voit rouge, un taureau réputé dangereux divague sur le territoire de la commune. Par arrêté municipal, il s’autorise à abattre l’animal. Le propriétaire a jusqu’au 8 février pour prendre les précautions nécessaires. Pour autant, le sort du taureau semble scellé.
Monsieur le maire de Frossay voit rouge, un taureau réputé dangereux divague sur le territoire de la commune. Par arrêté municipal, il s’autorise à abattre l’animal. Le propriétaire a jusqu’au 8 février pour prendre les précautions nécessaires. Pour autant, le sort du taureau semble scellé.
C’est la semaine dernière que Laurent Seyn a fait la macabre découverte : l’une de ses juments gisait au sol, le corps déchiqueté par un loup.
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