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Mardi 10 novembre, lors d’une conférence de presse, Christophe Ellul, le compagnon d’Élisa Pilarski, a remis en cause les récentes expertises et analyses ADN qui incriminent son chien Curtis dans la mort de la jeune femme. Il insiste sur la responsabilité des chiens des chasseurs à courre.
La semaine dernière, le résultat des tests ADN et un rapport d’expertise ont incriminé le chien Curtis dans la mort de la jeune femme de 29 ans originaire du Béarn. Ce mardi 10 novembre, lors d’une conférence de presse, Christophe Ellul a pris la défense de son chien.
Suite aux résultats des autopsies réalisées lundi 9 novembre et des premières auditions, le parquet de Saint-Quentin privilégie désormais la thèse de l’assassinat. Trois corps, dont un pendu dans un corps de ferme, avaient été retrouvés samedi 7 novembre à Jussy et Mayot dans l’Aisne.
Suite aux résultats des autopsies réalisées lundi 9 novembre et des premières auditions, le parquet de Saint-Quentin privilégie désormais la thèse de l’assassinat. Trois corps, dont un pendu dans un corps de ferme, avaient été retrouvés samedi 7 novembre à Jussy et Mayot dans l’Aisne.
Samedi 7 novembre, une femme a été retrouvée égorgée à proximité d’un appartement incendié à Jussy dans l’Aisne. Dans cet appartement, se trouvait le corps d’un homme carbonisé. Quelque kilomètre plus loin, un autre homme, suspecté d’être l’auteur des faits, a été retrouvé pendu.
Selon un rapport mené par deux experts et les résultats des tests ADN, Elisa Pilarski aurait été tuée par le chien de son compagnon. Quelles suites pour l’enquête ? Quelles conséquences pour Curtis et son propriétaire ? On fait le point.
Elisa Pilarski a été tuée par Curtis, le chien de son compagnon, selon les résultats des tests ADN. Un résultat qui confirme le rapport d’expertise publié le 1er novembre.
La D1044 est déviée depuis que l’accident a eu lieu ce matin. Une femme est décédée dans l’accident, alors qu’elle effectuait un dépassement.
Le rapport qu’ont pu consulter les avocats de la société de vènerie et du compagnon de la jeune femme désigne le chien qu’elle promenait comme seul auteur des morsures qui ont entraîné son décès en forêt de Retz, dans l’Aisne. Les résultats des analyses ADN ne sont pas encore connus.
Le rapport qu’ont pu consulter les avocats de la société de vènerie et du compagnon de la jeune femme désigne le chien qu’elle promenait comme seul auteur des morsures qui ont entraîné son décès en forêt de Retz, dans l’Aisne. Les résultats des analyses ADN ne sont pas encore connus.
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