Logement indigne. “Je vivais comme une bête sauvage” : six mois de prison requis contre des marchands de sommeil
Le propriétaire d’un logement indigne à Marseille, et son gendre qui a racheté le bien en 2020, sont jugés devant le tribunal correctionnel pour avoir loué un local d’une douzaine de mètres carrés au sous-sol d’un immeuble, dont les toilettes étaient visibles des autres habitants. Le jugement sera rendu le 10 mars.
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Author: Annie Vergnenegre