L’affaire Le Scouarnec est “un échec du recueil de la parole de l’enfant”, d’après l’association La Voix de l’enfant
Pour Martine Brousse, présidente de La Voix de l’enfant, ce procès est l’occasion de casser l’omerta et de rappeler que “s’il y a une suspicion, il faut parler”, notamment en composant le numéro 119.