Violences à Bétharram : “Il faut qu’ils soient au pied du mur pour que ça avance”, la congrégation reconnaît sa culpabilité, les victimes dans le doute

Violences à Bétharram : “Il faut qu’ils soient au pied du mur pour que ça avance”, la congrégation reconnaît sa culpabilité, les victimes dans le doute

Par l’intermédiaire du prêtre Laurent Bacho, la congrégation religieuse des pères de Bétharram a admis sa responsabilité dans les violences sexuelles subies par les enfants, ce mardi 4 mars. Si la prise de parole était attendue, il s’agit seulement d’un “premier pas qui n’est pas suffisant” pour le collectif des victimes.