TÉMOIGNAGE. “j’ai toujours chez moi de quoi reboucher”, elle raconte encore traumatisée, la psychose de la fissure à Marseille

TÉMOIGNAGE. “j’ai toujours chez moi de quoi reboucher”, elle raconte encore traumatisée, la psychose de la fissure à Marseille

Après l’effondrement des immeubles de la rue Aubagne, le 5 novembre 2018, une vague d’arrêtés de péril submerge le quartier. La municipalité traque les fissures, l’insalubrité, la vétusté. Une psychose s’abat sur la Marseille, à coups d’évacuations expéditives. Une habitante raconte son “après catastrophe”.