[Témoignages] Drogue du viol à Bordeaux : “je n’ai bu que trois gorgées et c’était le black-out”
Leurs histoires sont nombreuses et leurs mots sont les mêmes. Elles ont à peine bu, ou pas du tout, et s’effondrent dans un bar ou une discothèque bordelaise, jusqu’au trou noir. Le lendemain, plus aucun souvenir. Leur a-t-on administré du GHB ou drogue du viol ?
Aller à la source
Author: Alice Robinet