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Manon Lemoine, une des victimes de Joël Le Scouarnec, regrette l’absence de rétention de sûreté dans la condamnation de l’ex-chirurgien. Elle affirme avoir ressenti sa personnalité “perverse” pendant le procès.

José Mariéma, gérant de deux sites d’orpaillage guyanais, à Bon Espoir et Saint-Laurent du Maroni, a annoncé mercredi que ses employés ont été pris en otages dans le cadre d’un braquage.

Mercredi 28 mai, le tribunal a rendu son verdict dans l’affaire Joël Le Scouarnec. L’accusé a été condamné à vingt ans de prison ferme pour 299 viols et agressions sexuelles, dont une majorité sur des enfants. Mais la peine est loin de satisfaire les victimes.

La mission, déclenchée par le Premier ministre il y a quatre semaines après la mort d’une lycéenne de 15 ans dans une attaque au couteau dans un lycée de Nantes, a rendu son rapport, mercredi, à François Bayrou. Franceinfo a pu le consulter.

L’ex-médecin a été condamné mercredi à la peine maximale, mais sans rétention de sûreté. Certaines parties civiles sont déjà angoissées à l’idée de le voir recouvrer sa liberté d’ici cinq à sept ans.

La décision est tombée mercredi 28 mai : Joël Le Scouarnec est condamné à 20 ans de prison ferme. L’ancien chirurgien avait reconnu les viols et agressions sexuelles de 298 personnes, en majorité des enfants. Cette peine est loin de satisfaire les victimes, qui demandaient une peine de rétention de sûreté.

Parmi ces propositions : l’interdiction de certaines armes, le déploiement de la vidéo-protection aux abords des établissements scolaires, une expertise psychiatrique…

L’avocat de l’ex-chirurgien, condamné à 20 ans de réclusion criminelle, ajoute qu’il n’a jamais été question de faire appel.

La décision est tombée mercredi 28 mai : Joël Le Scouarnec est condamné à 20 ans de prison ferme. L’ancien chirurgien avait reconnu les viols et agressions sexuelles de 298 personnes, en majorité des enfants. Cette peine est loin de satisfaire les victimes, qui demandaient une peine de rétention de sûreté.

Un incendie s’est déclaré en fin d’après-midi, mardi 27 mai, dans un camping du Cap d’Agde. Près de 200 mobil-homes et 12 véhicules sont partis en fumée.