La Revue de presse de nos compagnons
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Au terme de quatre jours (et non des cinq prévus) de son procès devant la cour d’assises de Toulouse, Jean-Baptiste Rambla a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité assortie d’une peine de sûreté de 22 ans pour le meurtre en récidive de Cintia Lunimbu, le 21 juillet 2017, à Toulouse.
Dans une double plaidoirie, la défense de Jean-Baptiste Rambla a plaidé ce jeudi les failles de son client, homme brisé, emmuré dans son passé, victime d’un “traumatisme désorganisateur“.
Tout en reconnaissant la souffrance de Jean-Baptiste Rambla liée au meurtre de sa soeur, maître Simon Cohen, avocat de la famille de Cintia Lunimbu, a pointé les zones d’ombre entretenues par l’accusé, ainsi que son indifférence.
Au quatrième jour du procès de Jean-Baptiste Rambla jugé pour le meurtre de Cintia Lunimbu à Toulouse, le 21 juillet 2017, l’avocat général David Sénat a requis la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une peine de sûreté de 22 ans.
Lors du deuxième jour du procès devant la cour d’assises de Toulouse de Jean-Baptiste Rambla, jugé pour le meurtre de Cintia Lunimbu, les motivations du passage à l’acte de l’accusé contre la jeune femme ont commencé à se dessiner. Mais elles restent opaques.
Interrogé longuement ce mardi matin, Jean-Baptiste Rambla a aussitôt dévié vers ce qui le hante depuis 47 ans : l’enlèvement et le meurtre de sa sœur aînée Marie-Dolorès Rambla et l’affaire médiatique qui s’en est suivie. Le président l’a laissé s’exprimer.
Au deuxième jour du procès de Jean-Baptiste Rambla pour le meurtre de Cintia Linimbu à Toulouse (Haute-Garonne), la cour a entendu de nombreux témoins venus parler de la victime. Une jeune femme décrite unanimement comme étant joyeuse, battante, “adorable“.
Au deuxième jour du procès de Jean-Baptiste Rambla pour le meurtre de Cintia Linimbu à Toulouse, la cour d’assises de Haute-Garonne a abordé une question centrale : la consommation de cocaïne de l’accusé, au moment de ses passages à l’acte.
Le jeune homme ayant pris en otage quatre femmes dans un bar-tabac de Blagnac, en mai 2019, a été condamné par le tribunal pour enfants de Toulouse à 42 mois de détention dont 18 avec sursis. Se réclamant à l’époque des Gilets jaunes, le preneur d’otage n’a pas fourni d’explication à son acte.
Jean-Baptiste Rambla, qui comparaît devant la cour d’assises de Toulouse pour le meurtre de Cintia Lunimbu en 2017, était en liberté conditionnelle au moment des faits, après une première condamnation pour meurtre. Il est donc jugé ici pour meurtre en récidive. Et la cour n’a pas éludé la question.
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