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L’information selon laquelle une “expédition punitive” aurait été menée par des islamistes au lycée La Martinière Diderot à Lyon ne semble pas exacte d’après une publication du rectorat.
Le président de la Croix-Rouge du Rhône et ses équipes sont stupéfaits et abattus d’apprendre qu’un de leurs anciens bénévoles serait suspecté d’agressions sexuelles et viols aggravés mineurs.
Ce mercredi 2 juin au soir, les SDMIS du Rhône, de la Loire et de la Drôme ont indiqué que cette panne téléphonique des principaux services de secours et des policiers entraînait l’impossibilité de joindre le 15, le 17, le 18 ou le 112 depuis un téléphone portable.
Une peine de 18 ans de réclusion a été requise mercredi devant les assises du Rhône à l’encontre de Pierre-Olivier Labastida, 32 ans, pour le meurtre présumé de son épouse mexicaine, retrouvée morte au pied de leur immeuble à Lyon.
Une peine de 18 ans de réclusion a été requise mercredi devant les assises du Rhône à l’encontre de Pierre-Olivier Labastida, 32 ans, pour le meurtre présumé de son épouse mexicaine, retrouvée morte au pied de leur immeuble à Lyon.
Mercredi 2 juin, le parquet de Lyon indique avoir ouvert une information judiciaire pour agressions sexuelles et viols aggravés sur deux personnes mineures à l’encontre d’un homme de 56 ans. Le suspect a indiqué avoir fait une trentaine d’autres victimes entre 1993 et 2016.
La CRS autoroutière a lancé un appel à témoins pour tenter de retrouver un chauffard qui roulait à 214 km/h sur le périphérique Laurent Bonnevay, à Lyon, il y a quelques jours. Le chauffard, non content de rouler dangereusement, filme ses exploits et les publie sur les réseaux sociaux.
Il avait dit aux policiers qu’elle s’était suicidée en se défenestrant: un homme de 31 ans a commencé à s’expliquer lundi 31 mai 2021 devant les assises du Rhône pour le féminicide présumé de son épouse mexicaine. En 2018, la jeune femme avait été retrouvée morte au pied de leur immeuble à Lyon.
Trois jeunes, un majeur et deux mineurs ont été interpellés après la découverte, dans la nuit du 7 au 8 mai, de tags menaçant de mort des policiers du 8e arrondissement de Lyon. Ils sont présentés devant le Parquet ce vendredi 28 mai et devraient être mis en examen.
Trois jeunes, un majeur et deux mineurs ont été interpellés après la découverte, dans la nuit du 7 au 8 mai, de tags menaçant de mort des policiers du 8e arrondissement de Lyon. Ils sont présentés devant le Parquet ce vendredi 28 mai et devraient être mis en examen.
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