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Michaël Chiolo et quatre autres hommes inculpés dans l’agression de deux surveillants pénitentiaires de Condé-sur-Sarthe en 2019 ont vu leur procès commencer lundi 2 juin. Les cinq accusés encourent la prison à perpétuité.

Le suspect a “diffusé avant et après son passage à l’acte deux vidéos sur son compte d’un réseau social au contenu raciste et haineux”, a déclaré dimanche le procureur de Draguignan, au lendemain du meurtre d’un Tunisien, Hichem Miraoui. “Il y a une dimension terroriste” dans ces actes, a déclaré le ministre de l’Intérieur.

Ce prêtre a sévi au collège Saint-Augustin, une institution catholique réputée en Moselle, qui a fermé en 2012. La rédaction d’ICI Lorraine a identifié une dizaine de victimes, d’anciens internes garçons scolarisés en 6e et 5e. Tous affirment avoir subi des attouchements répétés de la part ce prêtre. Lui n’a jamais été inquiété.

Michaël Chiolo et quatre autres hommes inculpés dans l’agression de deux surveillants pénitentiaires de Condé-sur-Sarthe en 2019 ont vu leur procès commencer lundi 2 juin. Les cinq accusés encourent la prison à perpétuité.

Un coiffeur de nationalité tunisienne est mort samedi 31 mai, victime de coups de feu tirés par l’un de ses voisins en pleine nuit. Le suspect, qui a publié plusieurs vidéos au contenu raciste, a été placé en garde à vue.

Le suspect a “diffusé avant et après son passage à l’acte deux vidéos sur son compte d’un réseau social au contenu raciste et haineux”, a déclaré dimanche le procureur de Draguignan, au lendemain des faits commis à Puget-sur-Argens. “Il y a une dimension terroriste” dans ces actes, a déclaré le ministre de l’Intérieur.

Mourad Battikh estime que la mort de Hichem Miraoui est “le fruit d’une atmosphère qui se durcit chaque jour un peu plus”. Il regrette que “des pompiers pyromanes viennent éteindre le feu qu’ils ont eux-mêmes allumé”.

Plusieurs restaurants du centre historique d’Amiens ont été dégradés. Les professionnels parlent d’une “violence inouïe” et de “meutes de hyènes enragées”.

Ce prêtre a sévi au collège Saint-Augustin, une institution catholique réputée en Moselle, qui a fermé en 2012.

Le suspect a “diffusé avant et après son passage à l’acte deux vidéos sur son compte d’un réseau social au contenu raciste et haineux”, a déclaré dimanche le procureur de Draguignan, au lendemain des faits commis à Puget-sur-Argens. “Il y a une dimension terroriste” dans ces actes, a déclaré le ministre de l’Intérieur.