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Un camion qui circulait sur l’A20 à hauteur de Feytiat a dû quitter l’autoroute avec son chargement de paille ce mardi 6 juillet matin. Sa remorque s’est renversée rue Marthe Dutheil, la circulation est perturbée.
Onze mois après la terrible explosion dans le port de Beyrouth, qui avait fait plus de 200 morts et 6500 blessés, le gouverneur de la ville est venu décorer à Limoges vingt Pompiers de l’Urgence Internationale qui étaient intervenus sur place.
À Limoges, ce samedi 3 juillet 2021, plusieurs passages piétons aux couleurs de l’arc-en-ciel ont été inaugurés, à l’occasion d’une journée de lutte contre les LGBTphobies. Mais de la peinture blanche avait été déversée avant cela !
Une septuagénaire a été retrouvée morte à son domicile du quartier du Val de l’Aurence à Limoges jeudi 24 juin 2021. Il s’agit d’un homicide.
Si la publicité des débats est la règle devant la cour d’assises, le huis clos est souvent demandé dans les affaires de viol, par protection pour les victimes. Ce n’est pas le cas de ce procès qui juge à Limoges, entre le 28 et 30 juin 2021, un homme de 39 ans.
Depuis vendredi 18 juin 2021, la police nationale de Limoges est tout particulièrement sollicitée. De nombreux accidents de la route sont à déplorer. Heureusement ils n’ont fait aucun blessé grave. Pour y faire face la police intensifie les contrôles routiers.
12 ans de réclusion criminelle assortis d’une peine de sûreté sont requis pour deux des frères accusés du meurtre de Mehdi Fakir en novembre 2017 à Limoges, 10 ans pour le troisième. Le verdict est attendu en fin de journée.
12 ans de prison assortis d’une peine de sûreté sont requis pour deux des frères accusés du meurtre de Mehdi Fakir en novembre 2017 à Limoges, 10 ans pour le troisième. Le verdict est attendu en fin de journée.
Les deux hommes interpellés après le double homicide de Nexon seront présentés vendredi 18 juin à un juge d’instruction en vue de leur mise en examen. Mercredi 16 juin, une mère de famille et un voisin avait été retrouvés mort dans une maison en feu. Trois enfants avaient pu être secourus.
C’est une première à la cour d’assises de Limoges. Le procès des frères Boufodda, accusés d’avoir tué involontairement Mehdi Fakir le 17 novembre 2013 dans le quartier du Val de l’Aurence, continue sans les avocats de deux des accusés. Ils dénoncent une audience partiale.
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