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Vendredi, la ville de Béziers a placardé des affiches en réaction aux attaques terroristes islamistes qui ont secoué la France ces derniers jours. Cette nouvelle campagne représente le Christ crucifié et provoque de vives réactions sur les réseaux sociaux.
Le 17 octobre 2020, un internaute appelait à “cramer la mosquée de Béziers”, au lendemain de l’assassinat de l’enseignant Samuel Paty. Ce dernier a été arrêté. Âgé de 50 ans, il a longtemps vécu dans l’Hérault et habite aujourd’hui en Loire-Atlantique. Il sera jugé le 5 janvier 2021.
Un corps a été retrouvé carbonisé après l’incendie d’une habitation dans la nuit de samedi à dimanche.
Mercredi 21 octobre deux hommes ont été jugés en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Béziers pour achat illégal de 7 fusils à pompe dans deux armureries de l’Hérault. Ils ont été condamnés à 3 et 4 ans d’emprisonnement.
Des internautes ont appelé à brûler une mosquée à Béziers en représailles à l’assassinat du professeur Samuel Paty par un terroriste islamiste à Conflans-Saint-Honorine. Les dirigeants de l’association culturelle des Français musulmans de Béziers ont porté plainte.
C’était lundi midi, à Béziers, lors du rassemblement en hommage à l’enseignant décapité. Le maire de la ville, Robert Ménard aux côtés de son épouse, députée de l’Hérault, a harangué l’assistance pour ne pas accepter la “barbarie”. Il a appelé au combat et s’est lancé dans un “J’accuse” cinglant.
Une femme de 49 ans, mère de famille, vient d’être condamnée par le tribunal correctionnel de Béziers à 6 mois de prison avec sursis pour avoir menacé deux employés d’un office notarial avec un pistolet de défense.
C’est une patrouille mixte, Police nationale et Police Municipale, qui a découvert tout cela dans un local près d’une cage d’escalier dans un immeuble du quartier ce mardi 6 octobre au matin.
L’entraîneur d’athlétisme de 36 ans a été mis en examen le 30 septembre dernier, après une enquête au long cours.
La mère et la grand-mère d’un élève de l’école Jules-Verne à Agde sont jugées ce mercredi 30 septembre par le tribunal correctionnel de Béziers pour avoir agressé une enseignante. Elles risquent jusqu’à trois ans de prison et 45.000 euros d’amende.
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